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Recherches

Les travaux de recherche de Jean-Bernard Chatelain portent sur les fondements méthodologiques des politiques de stabilisation. Il aborde les questions de crédibilité, d’équilibres multiples, de bifurcations vers des dynamiques instables et d’identification des paramètres des mécanismes de transmission de ces politiques.

Les domaines de recherche de Daniel Cohen sont d’un côté la macroéconomie internationale, notamment l’analyse de la dette souveraine et des chocs économiques qui produisent les crises financières; de l’autre, il analyse le populisme, et les changements de paradigme politique qu’il entraine. A l’intersection de ces deux domaines, Daniel Cohen étudie aussi avec une équipe de chercheurs du Cepremap la manière dont les cycles économiques dépendent des paramètres socio-politiques des pays (confiance dans le gouvernement, les entreprises..).

Catherine Doz s’intéresse à la modélisation statistique des séries temporelles et en particulier aux modèles à facteurs dynamiques. Ces modèles, qui visent à résumer les comportements dynamiques simultanés d’un grand nombre de variables économiques, sont en particulier utilisés pour la prévision de court terme et pour le diagnostic conjoncturel.

Axelle Ferriere est une macroéconomiste quantitative. Ses recherches portent principalement sur les politiques fiscales et la redistribution, à travers les modèles d’agents hétérogènes. Elle s’intéresse également aux effets quantitatifs de l’incertitude. Ses articles ont été publiées dans l’American Economic Journal: Macroeconomics et le Journal of Monetary Economics.

Jean-Olivier Hairault est un macroéconomiste spécialiste de la dynamique du chômage et des politiques de retraite. Il travaille également sur les fluctuations économiques en général et sur les politiques de stabilisation. D’un point de vue méthodologique, ses travaux de recherche s’inscrivent dans le cadre de modèles d’équilibre général stochastique.

Les recherches menées par Francesco Pappada portent sur la macroéconomie et la macroéconomie internationale. Il étudie les conséquences agrégées de la dynamique des entreprises, y compris le cleansing effect des récessions, et l’impact de l’hétérogénéité des entreprises sur les fluctuations du taux de change. Il s’intéresse également à la politique fiscale et aux conséquences d’une tax compliance imparfaite sur le défaut souverain et les consolidations fiscales.

Gilles Saint-Paul est professeur à PSE et à l’ENS-PSL. Il travaille sur les théories macroéconomiques, en particulier celles relatives à la croissance, au marché du travail et à l’économie politique. Ses publications incluent The political economy of labor market institutions (Oxford University Press, 2000) et The tyranny of utility (Princeton University Press, 2011), ainsi que de nombreux articles dans des journaux internationaux.

Bertrand Wigniolle s’intéresse à la macroéconomie théorique de long terme. Ses travaux récents portent sur les conséquences macroéconomiques de l’affaiblissement de l’hypothèse de rationalité des agents. Il travaille également les imperfections des marchés financiers et leur influence sur la dynamique macroéconomique